Jack est un marron qui a une tache blanche sur le dessus, il est assez irrégulier dans sa forme. il a beaucoup de creux/bosses. Ces mêmes irrégularités nous permettent de se dire clairement quel est le dessus et le dessous de Jack. sur les côtés il a aussi des sortes de trous qui nous font penser à des orbites pour des yeux. la façon dont la tache blanche est disposée, on dirait un petit béret de l’armée ou une kippa tout dépend du point de vue.
Jack, de ses surnoms Jacky ou Jack le marron, vient d’Inde. Il s’est retrouvé dans une cargaison qui a été livrée à Anvers et ensuite éparpillée partout en Belgique, notamment à Namur. Pour ceux qui ne le savent pas, les marrons d’Inde sont toxiques lorsqu'on les consomme. À son arrivée, il est rejeté par ses semblables. Les habitants locaux l’évitent aussi. Personne ne cherche à le connaître ou à l’accueillir. Il commence à avoir de mauvaises pensées, tout seul en dessous d’un panneau routier. "Mais pourquoi personne ne veut de moi ?", "Suis-je un problème ?". Il commence à se dire qu’il va leur donner des raisons pour ne pas l’aimer. Pourquoi être aussi sérieux ? Ce sont ce genre de pensées qui lui traversent l’esprit. Ce qui nous permet de nous poser à notre tour certaines questions. Qu’est-ce qu’il aurait donné en tant que marron méchant ? Aurait-il pu être le méchant de la nuit pour Namur ? Ou même le nouveau Batman ? Tant de questions qui n’auront jamais de réponse. Pour l'instant, il reste tout simplement Jack le marron.
Au début, il était vert, mais maintenant il prend des teintes noires avec la saleté. Steve peut être plié dans n'importe quel sens et peut entourer toute sorte d'objet. Mais Steve peut faire bien plus, il est capable d'exploser des pastèques, d’être un lance-missile et le missile. En plus d'être polyvalent, il est très beau tout en restant dans la simplicité de ses formes. Voici Steve, un élastique en plastique de couleur verte.
Steve nait dans une usine délabrée de Chine Orientale. Il était né mais ne sort pas du ventre de sa mère avant plusieurs semaines. L’élastique est exporté vers le Danemark. Le bateau sensé le transporter quitte le port de Shanghai le 30 mai 2023 avec, à son bord, Steve et tous ses congénères. En Mer Rouge, le navire heurte un autre porte-conteneur en direction de l'Australie. Les deux bateaux coulent et notre protagoniste, terrorisé, dérive maintenant sur les ondes déchaînées de la mer. Cela dure pendant 1 semaine. Le 7 juin, les employés de l'association Ocean Cleanup, qui ramassent les déchets plastiques se rassemblant en masse dans les océans, décident de passer par les lieux de l'accident. Steve est récupéré de justesse. L'association décide de livrer certains objets qui ne sont pas trop délabrés, comme notre élastique vert. Il se dirige vers le plat pays belge. Là-bas, il est exposé dans un simple magasin de bricolage. Il y reste jusqu'à l'achat d'un client en juillet. Il est alors utilisé pour transporter un colis vers un chantier à Namur en septembre. Les ouvriers font tomber le colis, et Steve tombe avec. Il reste à terre 2 semaines, avant qu'un je ne le ramasse.
Le Petit trésor d'Albert est une pièce cuivré qui affiche une surface vieillie. Albert II regarde toujours l'avenir avec fierté. La pièce, datant de 1999, montre des signes évidents de son parcours : des bords usés, des marques d'utilisation. Cependant, elle conserve sa noblesse. Les marques du temps ajoutent du caractère. La pièce conserve sa valeur symbolique. C’est une petite merveille qui incarne la durabilité et la beauté du temps qui passe.
Le Petit Trésor d'Albert porte en lui une histoire captivante. Un jour de pluie, Cédric et moi avons trouvé cette pièce devant le local B74. Datant de 1999, elle exhibe une surface vieillie, mais Albert II continue de regarder fièrement vers l'avenir. Ses bords usés, des marques d'utilisation évidentes, ajoutent une couche de caractère à cette humble pièce. Les marques du temps n'ont fait que renforcer sa valeur symbolique. Elle est devenue un petit trésor qui incarne la durabilité et la beauté du temps qui passe. Cette pièce est bien plus qu'une simple monnaie, elle est un témoin silencieux de l'histoire belge et de l'héritage royal qui nous rappelle que la grandeur peut être trouvée dans les détails les plus modestes de la vie quotidienne. Elle nous enseigne que même les objets les plus modestes ont une histoire à raconter, une histoire de voyage à travers le temps et l'espace. Le "Petit Trésor d'Albert" continue de résister au passage du temps, une petite merveille qui évoque le passé tout en incitant à imaginer son futur, rappelant que la beauté réside dans la durabilité et la simplicité.
Dans le creux de la main repose une pièce de deux centimes, sa modeste valeur dissimulant une longue et mystérieuse histoire. Son éclat cuivré rappelle les armures des chevaliers d’antan, le monument gravé à l’arrière donne gloire à son pays de création. Cette humble pièce a traversé les années, de poche en poche, de transaction en transaction. Témoin silencieux des empires financiers, elle incarne la résilience et la persévérance.
Le Témoin de Cuivre naît en Italie en 2004. Nous ne savons pas grand-chose de son histoire, bien que nous imaginions facilement qu'il passe de porte-monnaie en porte-monnaie depuis près de 20 ans. Il ne brille pas spécialement par son taux monétaire, mais plutôt par son design qui représente le pays dans lequel il a été créé. Cette petite pièce voyage beaucoup, même si elle n'a absolument aucune valeur en dehors de l'Union Européenne. C'est ce qui fait qu'elle revient toujours d'où elle vient, comme si elle était fidèle à ses créateurs, ou peut-être simplement parce que les gens qui l'ont eue en leur possession étaient trop avares. Le fait qu'un jour, une partie de pile ou face foireuse se soit mal terminé l'amène dans une cour de la Haute École Albert Jacquard, seule et perdue sur le sol, là où un jour, je la trouve par pur hasard et la ramasse pour la faire rejoindre ses semblables dans mon porte-monnaie, là où elle cessera bientôt de changer de propriétaire car son utilisation se réduit de plus en plus dans le système monétaire actuel.
Cette petite tirette en métal qui est détachée de l'objet auquel elle appartenait autrefois. Noué à sa boucle est une sorte de lacet en cuir rouge, servant à la fois à décorer l'objet et à plus facilement attraper la tirette afin d'ouvrir la veste, le sac, ou quelque autre objet auquel elle était originellement attachée. Le métal de la tirette est abîmé, implicant qu'elle ait été arrachée avec une certaine force; cependant le noeud en cuir, lui, ne présente aucune imperfection notable.
Sa fonction était celle d'un gardien de prison : ouvrir la cellule pour faire entrer les détenus, la refermer pour les garder confinés...parfois, elle rendait leur liberté aux prisonniers, bien que souvent temporaire le temps qu'ils se rendent utiles. (Ou qu'ils soient éliminés définitivement, jetés dans des gouffres en plastique.) Jour après jour, elle travaillait sans cesse. Ouvrir, fermer, ouvrir, fermer, ouvrir, fermer. Son corps et la prison ne faisaient qu'un, la condamnant à jouer le gardien. Elle se sentait elle-même prisonnière, incapable de s'éloigner des barreaux qui étaient sa responsabilité imposée. Son coeur, coulé du même métal que ceux-ci, rêvait pourtant d'un monde plus vaste, sans chaînes. De liberté. La sienne, et celle des détenus enfermés, en son opinion, injustement. En quête de liberté, elle s'arracha de la prison, y laissant une partie de son corps, mais laissant également les barreaux ouverts à jamais. Blessée, mais libre, elle couvra ses blessures d'un ruban en cuir d'un rouge vif, symbole de ce qu'elle a sacrifié afin d'échapper à son destin.
Cette plaquette en métal gravée des mentions "Bastin Libert CeayMeax" incarne un bout d'histoire, conçue dans des matériaux robustes pour résister à l'épreuve du temps. Elle a été méticuleusement créée pour que ses inscriptions demeurent inoubliables, que ce soit portée fièrement autour du cou ou enfouie profondément dans le sol. L'inconnu, c'est le gardien d’un récit oublié. Elle symbolise la détermination et le courage.
Namur fut le théâtre d'atrocités allemandes pendant la Grande Guerre et c’est dans un “boom” assourdissant que l’inconnu, cette petite plaquette métallique tomba dans l’obscurité des tranchées. Les années passèrent et le monde changea sans même se douter que là, enfoui dans le sol, l’inconnu attendait patiemment de sortir de terre. Pendant un siècle, cette plaquette, témoin silencieux des horreurs de la guerre, gisait sous terre. Elle portait les traces de l'histoire d'un homme oublié, un héros inconnu. Mais un jour, des mains curieuses la tirèrent de terre. Ces inscriptions révélèrent leur histoire longtemps perdue. La plaquette, jadis insignifiante, avait soudain un nom, une identité. Le soldat inconnu de Namur était enfin sorti de l'ombre, grâce à cette petite pièce de métal. Le monde découvrit l'histoire de Bastin Libert Ceaymeax, un homme qui avait combattu vaillamment dans l'anonymat, et qui avait maintenant un nom. Cette plaquette, une fois oubliée, était devenue le lien entre le passé et le présent, rappelant au monde que derrière chaque soldat inconnu se cache une histoire profonde, un acte de bravoure inscrit à jamais dans l'histoire collective de l'humanité.
Une bague dite en acier inoxydable (mais j’en doute fortement) qui a couté 2euros. Elle est légèrement souple et ne se referme pas, certainement dans le but d’aller à toute les tailles de doigts possibles. Elle est bordée d’ondulations très particulières qui lui donnent une épaisseur irrégulière. Son apparence à première vue maladroite ne plait pas à tout le monde même pas à moi, sa propriétaire, mais elle pourrait plaire aux amateurs d’art moderne de de bijoux avec un design particulier.
À venir...
Bague possiblement en or assez passe partout au premier abord. Elle semble ornée de pseudo-pierres sur le dessus avec un enchevêtrement autour. Légèrement abimée par le temps et la nature. Elle n'est ni lourde, ni légère. Elle est à peine l'opposé d'une bague sobre mais loin d'un truc très extravagant. Un bijoutier expérimenté pourrait faire cet objet pratiquement les yeux fermés, tant sa forme est banale, passe partout.
Une femme encapuchonnée se balade dans les bois lors d'une nuit assez claire. Pas un bruit, pas un craquement n'est perceptible à l'oreille. Rien. Son chemin continue sur le sentier qu’elle a commencé. Un grand arbre se dessine au loin. On arrive à distinguer une ouverture au niveau de ses grandes racines et à l’intérieur une petite lumière à peine visible. Elle rentre dans l’arbre et s’approche davantage de cette petite lumière. Elle arrive à un point où on peut distinguer ce que c’est : une bague. On ressent d'étranges vibrations qui semblent émaner de l'objet. Elle tend la main et pas une force inconnue de ce monde, la bague sort de son socle et vient s'enfiler autour de l'annulaire de la femme. Une vague d’énergie apparaît de la bague et soulève la poussière et les feuilles présentes dans l’arbre. Aucun changement n’est visible sur le corps de la femme. Juste la bague qui perd son éclat. Elle sort de l’arbre et toute végétation aux alentours a disparu. De même pour les étoiles dans le ciel et la Lune. La porteuse de bague rebrousse chemin et s’enfonce dans ce qu’il reste de la forêt.
Boucle d'oreille artisanale en acier inoxydable, mettant en scène trois plumes finement ciselées. Chacune d’elles dévoile des détails délicats, créant un équilibre parfait entre le charme bohème et l'élégance simple. Cette pièce unique ajoute une touche de légèreté à toute tenue, que ce soit pour une soirée chic ou une journée décontractée. Les pendentifs dansent avec grâce, capturant la lumière pour un éclat subtil. Une boucle d'oreille soulignant le style personnel avec une touche d’élégance.
Cette boucle d'oreille a une histoire fascinante. Autrefois, elle faisait partie d'un ensemble de bijoux précieux qui appartenaient à une femme élégante du nom de Stéphania. Elle la portait lors de soirées, ajoutant une touche de grâce à son apparence. C'était un cadeau spécial de son grand-père, qui avait un goût raffiné pour les bijoux uniques. Un jour, alors qu'elle marchait dans les rues animées de la vieille ville, la boucle d'oreille s'est détachée de son oreille et a été perdue. Stéphania était inconsolable, car cette pièce avait une grande valeur sentimentale pour elle. Des années plus tard, une étudiante en web design de l’HEAJ la découvre par hasard lors d'une balade. Elle est immédiatement séduite par sa beauté et décide de la restaurer avec amour pour lui redonner toute sa splendeur. Aujourd'hui, cette boucle d'oreille a retrouvé son éclat d'antan. Elle l'étudie avec soin, détaillant son artisanat, sa signification et son héritage. Elle prévoit de créer un site complet dédié à son histoire et à sa description. Une véritable renaissance pour ce petit trésor perdu qui continue à inspirer et à émerveiller.
Capsulor, par sa fonction principale, est le gardien qui sépare l’homme du péché. Par sa forme arrondie, elle marie parfaitement le goulot. Son impeccable robe dorée, tel un soleil à son zénith, nous rappelle la joie de se soulager par une bière. Son bruit métallique point assourdissant, ne nous fait pas mal aux oreilles contrairement aux autres capsules. Non, elle, nous rappelle son immense importance. Une petite taille, pour une si grande destinée.
Il y a longtemps, dans les forges d'Hossegor, un moine-guerrier déshydraté tombe par terre. Après tant de travail acharné, il ne veut qu'une bonne bière, faite par le village d'à côté. La bière est une bouteille en verre avec un bouchon de liège, une matière rare mais qui a un défaut : le goût. Le moine-guerrier, ouvre sa bière et, avec précipitation, la boit toute entière. Il recrache tout aussi vite, car le goût est abject à cause du bouchon. Bien que dégoûté, il se relève et une idée lui vient en tête. Alors il se remet au travail et fait fondre du métal. Ce jour-là, le soleil brille comme dix autres. Le moine crée une forme qui convient parfaitement à la bouteille. Un petit objet : une capsule. Les dieux, contents du travail du moine, donnent une couleur dorée à la capsule qui se voit à plusieurs kilomètres; et dessinent une fleur de lys dessus. Le village voisin, jaloux de la découverte du moine, attaque la forge avant que la capsule ne puisse être posée. Après la bataille, personne ne parvient à retrouver la capsule, pourtant si brillante et elle est perdue à tout jamais. Quelques centaines d'années plus tard, la capsule refait surface. Capsulor d'Hossegor revient.
Criquet arbore une teinte verte. Sa forme ergonomique assure une prise facile. Elle est en plastique dur, sans aucune éraflure et sans marque d'usure. Son état est quasiment neuf. Le ressort, quant à lui, est d'un gris métallique, il brille légèrement à la lumière et assure une tension optimale, garantissant une fixation "fiable" pour tout type de vêtements. C'est un objet simple mais indispensable !
Dans une petite ville, un ancien immeuble se dresse fébrilement. À l'intérieur, au troisième étage, un appartement offre une large vue sur une rue monotone où se faufile le vent. Clara, une vieille femme, y vit depuis longtemps. Chaque semaine Clara lave soigneusement ses vêtements et les suspend à une corde qu'elle attache à sa fenêtre, faisant flotter son linge au-dessus de la rue citée précédemment. Elle utilise une série de pinces à linge, toutes vertes et des ressorts argent. Un dimanche, alors que le soleil traverse l'horizon, et qu'une bourrasque d'automne souffle tout le long des balcons, Criquet, une pince qu'elle a surmenée, en eut assez et sauta silencieusement de la corde, décrivant un arc gracieux dans l'air, avant de se poser délicatement en contrebas sur le vêtement qu'elle relâcha. Les jours passèrent. Le vêtement envolé, la pince verte, désormais solitaire, git là, au milieu de la ruelle. Les passants, étant pressés surement, ne la remarquent pas. Elle est cependant une note colorée dans ce grand tableau dénaturé de gris.
Le miroir, pratique pour les situations où je pense avoir tout un repas entre les dents, c’est un accessoire d'une grande utilité . Avec son petit cœur rose trop mignon et ses petits strass, il ajoute une touche de mignonnerie à ce monde cruel et décevant. C’est un objet indispensable et objectivement assez beau. Il est doté de deux petits miroirs ronds qui se ferme à la manière d'un ancien téléphone à clapet. Il est très léger et portatif, parfait a mettre dans mon petit sac.
Errant dans la rue à la recherche du mystérieux magicien qui l'a ensorcelé, Mimiroir se sent plus seul que jamais. Les passants pressés ne font que renforcer sa solitude. Un jour, devant une boutique d'antiquités, il se fige en découvrant un visage marqué par le temps, curieusement familier. C'est alors qu'il réalise que ce reflet est le sien, portant une lueur d'espoir. Déterminé à briser le sortilège qui le retient prisonnier, Mimiroir entreprend une quête à travers des paysages variés, reflétant ses émotions changeantes. Il trouve des compagnons inattendus, chacun apportant une pièce au puzzle de son énigme. Après de nombreuses épreuves et introspections profondes, il réalise que le véritable magicien est en lui, enfermé dans sa propre perception. Finalement, il trouve sa liberté en acceptant et en reflétant les beautés du monde, célébrant la richesse de la vie qui l'entoure sans chercher un but extérieur. En comprenant que le reflet dans la boutique était le sien, Mimiroir trouve la paix intérieure et s'épanouit dans sa propre existence.
Salut tout le monde, moi c’est Chuck. Un gentil petit canard jaune en plastique. Je mesure presque 3 centimètres de haut et comme je suis un peu gourmand je mesure 3,2 centimètre de large. Je suis comme je l’ai dit tout jaune avec un bec rouge et des yeux blanc et noir avec de long cils. En dessous de moi il y a un petit bouchon troué qui permet de laisser passer l’air, ce qui fait que je peux changer de forme quand on me presse et quand on me relâche je peux revenir à ma forme initiale.
Salut à tous ! Je suis Chuck, le petit canard jaune en plastique, et je suis ici pour vous narrer mon histoire captivante. Je tiens à exprimer ma gratitude envers mon créateur pour m'avoir accordé une existence dans ce monde mystérieux. Moi et mes semblables jouons un rôle bien plus important dans votre quotidien que vous ne l'imaginez, mais certains secrets ont été jalousement préservés jusqu'à aujourd'hui... J'ai pris la décision de dévoiler l'intégralité de notre histoire, dans l'espoir d'acquérir richesse et pouvoir ! Comme je l'ai précédemment évoqué, notre influence est discrète mais étendue. J'ai passé de longues années à m'infiltrer dans la cave du bâtiment C de l'HEAJ, perché sur un tuyau de chauffage près du plafond, quasiment invisible jusqu'à ce qu'un étudiant curieux vienne perturber mes plans. J'ai minutieusement observé des milliers d'élèves, enregistrant chaque visage, pour ensuite transmettre ces informations à notre grand Chef Leo Bassi, le guide de notre croyance dans la religion Patolique. Notre mission à venir ne se limite pas à l'élimination des élèves, elle vise toutes les personnes ayant croisé le regard d'un petit canard en plastique...
Histoire indisponible...
Gordy est un briquet qui possède un atout de qualité pour son possesseur. Surnommé Gordy la bonne trouvaille, il est capable, grâce à plusieurs images mentales, de retrouver la Gordon la plus proche et la moins chère. Pour l'activer, il faut s’allumer une cigarette et prononcer son nom 3 fois. Plusieurs facteurs interviennent dans la qualité de la trouvaille, si la cigarette est roulée le pourcentage de la bière augmente et si elle n'a pas de filtre, Gordy lui trouve une édition limitée.
Gordy, posé sur le comptoir du magasin Night & Day à Jodoigne, fut acheté par un buveur de Gordon aguerri nommé Jean Bouarai-Une. Lorsque Jean voulut utiliser son briquet pour allumer sa cigarette, il resta figé. Une fois revenu à lui, son ami de toujours qui l'accompagnait, lui posait alors une question : "ça va Jean? On dirait que tu viens de recevoir un message du seigneur." Ce à quoi il répondu : "Notre vie va changer, nous n’aurons plus jamais soif! " Mais il ne comprenait pas, alors Jean s’expliqua… “Le briquet que j’ai dans les mains s'appelle Gordy, si l’on récite 3 fois son nom en allumant sa clope, il nous indique où se trouve la Gordon la plus proche, et la moins chère ! “ Son ami sortit alors une cigarette, et pria Jean d’essayer. Après l’avoir allumé en suivant les étapes, il se mit en route instantanément. L'ayant trouvé, il décida de l’ouvrir et quand il voulut boire une gorgée, Jean lui dit : “Attends ! Et si ça n’était qu’un piège ? C’est trop beau pour être vrai…” Mais son ami ne pu y résister, et il but… Tout allait bien, seulement après quelques secondes, une voiture de police arriva pour arrêter les buveurs nocturnes et il laissa tomber le briquet...
Histoire indisponible...