Gordy est un briquet qui possède un atout de qualité pour son possesseur. Surnommé Gordy la bonne trouvaille, il est capable, grâce à plusieurs images mentales, de retrouver la Gordon la plus proche et la moins chère. Pour l'activer, il faut s’allumer une cigarette et prononcer son nom 3 fois. Plusieurs facteurs interviennent dans la qualité de la trouvaille, si la cigarette est roulée le pourcentage de la bière augmente et si elle n'a pas de filtre, Gordy lui trouve une édition limitée.
Gordy, posé sur le comptoir du magasin Night & Day à Jodoigne, fut acheté par un buveur de Gordon aguerri nommé Jean Bouarai-Une. Lorsque Jean voulut utiliser son briquet pour allumer sa cigarette, il resta figé. Une fois revenu à lui, son ami de toujours qui l'accompagnait, lui posait alors une question : "ça va Jean? On dirait que tu viens de recevoir un message du seigneur." Ce à quoi il répondu : "Notre vie va changer, nous n’aurons plus jamais soif! " Mais il ne comprenait pas, alors Jean s’expliqua… “Le briquet que j’ai dans les mains s'appelle Gordy, si l’on récite 3 fois son nom en allumant sa clope, il nous indique où se trouve la Gordon la plus proche, et la moins chère ! “ Son ami sortit alors une cigarette, et pria Jean d’essayer. Après l’avoir allumé en suivant les étapes, il se mit en route instantanément. L'ayant trouvé, il décida de l’ouvrir et quand il voulut boire une gorgée, Jean lui dit : “Attends ! Et si ça n’était qu’un piège ? C’est trop beau pour être vrai…” Mais son ami ne pu y résister, et il but… Tout allait bien, seulement après quelques secondes, une voiture de police arriva pour arrêter les buveurs nocturnes et il laissa tomber le briquet...
Salut tout le monde, moi c’est Chuck. Un gentil petit canard jaune en plastique. Je mesure presque 3 centimètres de haut et comme je suis un peu gourmand je mesure 3,2 centimètre de large. Je suis comme je l’ai dit tout jaune avec un bec rouge et des yeux blanc et noir avec de long cils. En dessous de moi il y a un petit bouchon troué qui permet de laisser passer l’air, ce qui fait que je peux changer de forme quand on me presse et quand on me relâche je peux revenir à ma forme initiale.
Salut à tous ! Je suis Chuck, le petit canard jaune en plastique, et je suis ici pour vous narrer mon histoire captivante. Je tiens à exprimer ma gratitude envers mon créateur pour m'avoir accordé une existence dans ce monde mystérieux. Moi et mes semblables jouons un rôle bien plus important dans votre quotidien que vous ne l'imaginez, mais certains secrets ont été jalousement préservés jusqu'à aujourd'hui... J'ai pris la décision de dévoiler l'intégralité de notre histoire, dans l'espoir d'acquérir richesse et pouvoir ! Comme je l'ai précédemment évoqué, notre influence est discrète mais étendue. J'ai passé de longues années à m'infiltrer dans la cave du bâtiment C de l'HEAJ, perché sur un tuyau de chauffage près du plafond, quasiment invisible jusqu'à ce qu'un étudiant curieux vienne perturber mes plans. J'ai minutieusement observé des milliers d'élèves, enregistrant chaque visage, pour ensuite transmettre ces informations à notre grand Chef Leo Bassi, le guide de notre croyance dans la religion Patolique. Notre mission à venir ne se limite pas à l'élimination des élèves, elle vise toutes les personnes ayant croisé le regard d'un petit canard en plastique...
D’apparence très ordinaire, je suis pourtant unique. Mon corps est composé d’un plastique blanc lisse et brillant. Sur le bas de ma personne, mon manche adapté est recouvert d’un silicone orange clair, parsemé à certains endroits de petits grains de plastique pour faciliter ma prise dans les mains des humains. Ma tête est divisée en 3 parties composées de poils bicolores blanc et jaune fluo légèrement grisés par la saleté du sol. Mon devoir : garder les dents humaines propres !
Mon histoire est courte, mais ma cause est noble. Ma naissance se déroule dans une usine au Japon, un beau pays que j’ai contemplé depuis l’avion qui volait vers l’Europe. Acquis par un humain aux poils de tête colorés comme moi, j’ai pris place dans son sac entre une pizza congelée et des cigarettes. Il comptait m’utiliser pour quelque chose d’improbable : la peinture ! La nervosité s'est emparée de moi. Comment accomplir une mission dont je ne connaissais rien ? Il a marché longtemps, assez pour que je remette en question toute mon existence. Quel est mon destin ? N’ai-je vraiment qu’un seul but ? J’ai fui. Le sac légèrement ouvert m’a permis de me faufiler dehors et de tomber à terre. Sous la pluie, j’ai compris mon erreur. Qui voudrait m'utiliser, qui voudrait d'une sale brosse à dents tombée à terre ? Pourtant, une humaine m'a ramassée. Elle s’est évertuée à me laver pour essayer de rendre à mon poil la propreté qu’il avait perdue. Aujourd’hui, elle m’observe, me dessine et me balade jusqu’à son école ou elle partage mon aventure pour ses cours. C’est une vie bien singulière pour une brosse à dents, mais c’est une aventure que je vais continuer à vivre.
Criquet arbore une teinte verte. Sa forme ergonomique assure une prise facile. Elle est en plastique dur, sans aucune éraflure et sans marque d'usure. Son état est quasiment neuf. Le ressort, quant à lui, est d'un gris métallique, il brille légèrement à la lumière et assure une tension optimale, garantissant une fixation "fiable" pour tout type de vêtements. C'est un objet simple mais indispensable !
Dans une petite ville, un ancien immeuble se dresse fébrilement. À l'intérieur, au troisième étage, un appartement offre une large vue sur une rue monotone où se faufile le vent. Clara, une vieille femme, y vit depuis longtemps. Chaque semaine Clara lave soigneusement ses vêtements et les suspend à une corde qu'elle attache à sa fenêtre, faisant flotter son linge au-dessus de la rue citée précédemment. Elle utilise une série de pinces à linge, toutes vertes et des ressorts argent. Un dimanche, alors que le soleil traverse l'horizon, et qu'une bourrasque d'automne souffle tout le long des balcons, Criquet, une pince qu'elle a surmenée, en eut assez et sauta silencieusement de la corde, décrivant un arc gracieux dans l'air, avant de se poser délicatement en contrebas sur le vêtement qu'elle relâcha. Les jours passèrent. Le vêtement envolé, la pince verte, désormais solitaire, git là, au milieu de la ruelle. Les passants, étant pressés surement, ne la remarquent pas. Elle est cependant une note colorée dans ce grand tableau dénaturé de gris.
Histoire indisponible...
Flammes est un bolide de catégorie 2, aussi rapide que son ombre. Ses roues XL lui permettent de se déplacer où il le souhaite. Sa carrosserie de couleur rouge pétante lui donne un aspect flamboyant, solide comme un roc, prêt à affronter n'importe quoi. Avec ses grands yeux bleus comme le ciel, il aperçoit déjà son avenir dans la compétition de monster truck. Son moteur est plus chaud que tout ce que vous connaissez, il restera imbattable et vainqueur.
Flammes a pu commencer sa longue route aux côtés de Geremia, un petit bout d'entrain qui le poussait vers le sommet pour ces compétitions. Après de multiples kilomètres parcourus, Geremia ne pouvait plus suivre le rythme effréné de Flammes. Le puissant bolide décide donc de continuer son périple en solitaire. Il affronte les routes sinueuses des Pyrénées, les autoroutes ultrarapides d'Allemagne et traverse bien d'autres lieux en route vers son dernier championnat, qui se tenait sur les routes cahoteuses de Belgique. Arrivé en Belgique, Flammes s'entraîna intensément pour affiner ses compétences. Le jour du championnat arriva enfin, Flammes était fin prêt. Il brille sur la piste, surmonte les obstacles et impressionne la foule par ses cascades audacieuses et sa vitesse incroyable. Flammes sort vainqueur de ce championnat, ce n’est pas une surprise. Ce qui est étonnant, c’est de le trouver seul et perdu en Belgique devant la maison de mon voisin en apprenant que vu son âge, la compétition n'est plus envisageable. La retraite étant donc arrivée, Flammes en décida autrement en continuant à partager son savoir avec les nouvelles recrues.
Au début, il était vert, mais maintenant il prend des teintes noires avec la saleté. Steve peut être plié dans n'importe quel sens et peut entourer toute sorte d'objet. Mais Steve peut faire bien plus, il est capable d'exploser des pastèques, d’être un lance-missile et le missile. En plus d'être polyvalent, il est très beau tout en restant dans la simplicité de ses formes. Voici Steve, un élastique en plastique de couleur verte.
Steve nait dans une usine délabrée de Chine Orientale. Il était né mais ne sort pas du ventre de sa mère avant plusieurs semaines. L’élastique est exporté vers le Danemark. Le bateau sensé le transporter quitte le port de Shanghai le 30 mai 2023 avec, à son bord, Steve et tous ses congénères. En Mer Rouge, le navire heurte un autre porte-conteneur en direction de l'Australie. Les deux bateaux coulent et notre protagoniste, terrorisé, dérive maintenant sur les ondes déchaînées de la mer. Cela dure pendant 1 semaine. Le 7 juin, les employés de l'association Ocean Cleanup, qui ramassent les déchets plastiques se rassemblant en masse dans les océans, décident de passer par les lieux de l'accident. Steve est récupéré de justesse. L'association décide de livrer certains objets qui ne sont pas trop délabrés, comme notre élastique vert. Il se dirige vers le plat pays belge. Là-bas, il est exposé dans un simple magasin de bricolage. Il y reste jusqu'à l'achat d'un client en juillet. Il est alors utilisé pour transporter un colis vers un chantier à Namur en septembre. Les ouvriers font tomber le colis, et Steve tombe avec. Il reste à terre 2 semaines, avant qu'un je ne le ramasse.
Havana, le meilleur ami des étudiants, est un ecocup prêt à faire la fête avec vous toute la nuit ! Ce verre en plastique porte le nom 'Havana' et est parfait pour déguster les meilleurs breuvages des bars et cercles de Namur. Trouvée par hasard sur un rebord de la rue de Bruxelles, elle a quelques égratignures, mais reste en bon état pour notre plus grand plaisir. Concernant le logo, il est rouge avec le texte blanc et une femme tenant un sceptre avec une croix au bout.
Il était une fois un ecocup du nom d'Havane. Cette ecocup est différent des autres. Il a un sens de l'humour particulier et adore faire rire les gens. Un jour, alors qu'il se trouvait dans une rue bondé, il remarqua un groupe d'amis assis à une table. Havana a eu une excellente idée pour les divertir. Il décida de se balancer d'avant en arrière en faisant de drôles de mouvements. Les amis étaient confus au début, mais ils ont vite éclaté de rire en le voyant danser. Les gens du bar ont commencé à lui prêter attention et se sont rassemblés autour de la table pour regarder le spectacle. Les rires résonnaient dans tout le bar, créant une atmosphère joyeuse et chaleureuse. Havana est heureux de voir autant de sourires et de rires. Il a continué à danser et à plaisanter pendant des heures, devenant ainsi la star du bar. Finalement, les amis ont décidé de le garder. Ils lui servent leurs boissons préférées et l'emmènent partout où ils vont, profitant de son sens de l'humour unique. Et c'est ainsi qu'il a trouvé son véritable but dans la vie : apporte de la joie et du rire partout où il passe et avec le sens de l'humour il répand le bonheur et bien plus encore.